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Nous sommes Morté. Francisco Espinosa López

  |   2022, Équipe Morte, Somos Morte   |   No comment

Chef d’atelier – Ingénieur mécanicien

 

Jusqu’à il y a quelques mois, Francisco était « le nouveau » chez MORTÉ, mais pas l’étranger… depuis son arrivée, il s’est toujours senti comme un membre de l’équipe MORTÉ.

On peut pratiquement dire qu’il est venu en voiture car depuis qu’il a terminé ses études secondaires, les voitures c’était ce qui l’attirait le plus, donc il a fait une formation professionnelle en mécanique de l’automobile. Mais à l’époque, le secteur n’offrait pas beaucoup de possibilités d’emploi. Il a donc décidé de poursuivre ses études en obtenant un diplôme en Génie Mécanique.

Ses premiers emplois ont été dans le secteur de la conserverie, d’abord en concevant des machines pour fabriquer des boîtes de conserve et plus tard il dessinait ces mêmes boîtes pour la production dans une grande entreprise de la région des rives de l’Èbre.

Mais après 19 ans dans le même métier, la conserverie ne lui suffisait plus et il a commencé à chercher d’autres défis, de nouvelles opportunités. Un ami lui a dit qu’un processus de sélection était en cours dans une entreprise voisine. Il a donc rejoint MORTÉ, il y a 2 ans, en tant que chef d’atelier, et il avoue ne plus s’ennuyer. Son travail est en rapport avec tout ce qu’il aime, le temps, le contrôle et la précision, car comme le dit la publicité et il le réaffirme : « le pouvoir sans contrôle est inutile« .

Avec les yeux du nouveau venu, ce qui l’a le plus frappé chez MORTÉ, c’est son souci constant de l’innovation, le fait d’être toujours à la pointe pour être à l’avant-garde et de penser sans arrêt à l’avenir pour rester en tête de l’industrie, en s’engageant, en investissant dans des technologies de pointe, comme la nouvelle cellule d’alimentation robotisée pour l’usinage.

Une phrase qu’il a entendue lors d’une réunion lui est restée en tête : « L’impossible est ce que l’on n’essaie pas« . Et c’est cette attitude qui leur permet de garder une longueur d’avance, dit-il. Il souligne également l’équipe de collègues, impliqués à 120% dans leur travail, même si cela a aussi été favorisé par les dîners du vendredi avant la pandémie, où ils se retrouvaient tous pour parler de l’humain et du divin au-delà des questions de travail… ces moments nous manquent, admet-il, mais ils reviendront.

Son défi est clair : réduire encore davantage les délais de livraison des commandes. Pour Francisco, le temps est important, tout comme la coordination pour que tout le travail à l’atelier soit fluide. Temps, précision et contrôle.

Au cours de ces deux années, il s’est rendu compte que, pour la fabrication de filières d’extrusion céramique, le savoir-faire et l’expérience sont essentielles. Ce n’est pas pareil de fabriquer des filières pour le plastique, car chaque argile, chaque système de production, est différent.

C’est un homme calme et persévérant, même s’il n’a pas la patience de sa femme pour enseigner à ses élèves et à ses filles. Pendant son temps libre, il aime bien profiter de sa famille et de ses modèles réduits de camions.

 

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